Aux portes de Paris, le village de Charenton-Saint-Maurice, devenu Saint-Maurice en 1642, possédait depuis 1641 un hôpital comprenant un pensionnat pour les aliénés,  que le docteur Esquirol venait de remanier profondément (1830-1837) : ce médecin fut un des premiers à considérer l'aliénation mentale comme une maladie.

 

L'expression « être bon pour Charenton » était d'usage courant.