Les premiers poèmes de Baudelaire paraissent en 1851, suivis des Fleurs du mal, en 1857, qui lui valent un procès pour immoralité. Mais Baudelaire se drogue et sa santé périclite. Il écrit encore les Petits Poèmes en prose qui seront édités après sa mort.

 

Baudelaire a renouvelé la critique d'art dans ses Salons (1845-1859) où il défend avec passion Delacroix et les écrivains de son temps contre l'académisme.

 

Il est hostile à toute nouveauté, et le vers :

 

« Je hais le mouvement qui déplace les lignes »

 

s'applique aussi bien en politique qu'en esthétique. Il a également condamné la photographie.